AvisPolar : Une vie pour une autre de Patrick ROHR (Autoédition)

Bonjour mes Lecteurs,

Voici un polar que je viens vous chroniquer en retour de lecture.

Nous voilà plongé dans l'univers de la PJ de versailles où la collaboration entre une Capitaine Nathalie berthier, et un amnésique va faire des étincelles et remuer l'arbre aux embrouilles jusqu'aux plus hautes sphères de l'état.

Cet homme inconnu, "sans nom", va révéler à la capitaine que son collègue Mareski ne s'est pas suicidé comme tout le monde le pense mais a bel et bien été assassiné. Dès lors, la téméraire Berthier va enquêter et rétablir la vérité sur ce qui s'est réellement passé.

Leur duo improbable permettra-t-il de résoudre une série de meurtres sans lien apparent ? L'étrange perte de mémoire dissimule-t-elle l'implication de l'inconnu dans ces sordides homicides ?

De surprises en rebondissements, de découvertes en révélations, vous allez assister à la découverte des révélations qui vont s'enchaîner en cascade jusqu'au rebondissement final.

La sensation que j'ai éprouvé lorsque j'ai commencé ma lecture des premiers paragraphes, c'est celle d'un genre de film confidentiel et intellectuel du cinéma d'auteur, compris seulement par le réalisateur.

L'exploration de son monde, dans la nuit noire et obscure de son amnésie qui divague pour retrouver le chemin des lumières de sa mémoire. 

Un homme qui marche seul, les trois notes de piano en dièse qui alourdissent l'atmosphère sombre, laissant l'amnésique dans sa solitude notoire ... Ambiance !

Il faudra attendre l'arrivée de Nathalie pour que l'histoire commence vraiment et ne se termine qu'au point final.

Cela dit, je vous conseille de le lire, l'enquête est passionnante, révélant des histoires mystérieuses lourdes de sens. 

Bonne lecture, amis Lecteurs !

Extrait : Il scruta les regards, chercha à deviner des sourires, des gestes, qu'il aurait pu interpréter comme un signe de reconnaissance, une invitation à se joindre à un groupe, ou tout au contraire les moues réprobatrices, les coups de coude, les mentons accusateurs, mais il n'en fut rien. Il naviguait dans ce flot humain en parfait inconnu.